NipSales 001 – Les faces cachées de la vente

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Nip$ales c’est quoi? C’est un podcast où mike et marco parlent des faces cachées de la vente.  Pour résumé, nous allons parler de #vente #ecommerce #retail et #insights pour tous ceux qui aiment la vente.

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22 réflexions sur « NipSales 001 – Les faces cachées de la vente »

  1. Hello la communauté ! Je passe les ventes de calendriers et gâteaux pour l’école, ma 1ère expérience avec la vente remonte à 1998 lorsque j’ai décroché mon 1er emploi dans un magasin de sport (GoSport), qui, à l’époque, dans le mag de Normandie était encore un petit « magasin familiale spécialisé »). Je ne devais bosser qu’1 mois, j’y suis resté pendant mes études à 10h hebdo + passage à temps plein chaque vacances ! Pour l’anecdote, ce qui a convaincu la personne qui m’a embauché ? Pendant l’entretien d’embauche, il m’a dit « aller, maintenant, on sort du bureau, on va dans le mag et si tu veux bosser chez moi, on se met en situation et tu essaies de me vendre un truc » … au final, il y avait un client en magasin et je lui ai vendu un vélo 🙂

  2. PS : sympa le monologue de Mike … sans son :-)) ! :-))).
    Vous partez pour 1 épisode / semaine ? Cool !!! Ah non, faux espoir … en tout cas, bien joué pour ce 1er épisode public et hâte d’entendre les suivants !
    ++
    Ermanno

  3. Super première émission en effet!

    Ma première expérience de vente remonte à la fin des années 90, à une époque où vendre des entrées dans des annuaires sur internet était le dernier truc chaud à la mode. J’ai donc fait du porte à porte pour convaincre de braves commerçants locaux de mettre leurs adresses dans un annuaire web pour quelque chose comme 100 euros de maintenant pour une année. Pour 300 euros par année, ils pouvaient même avoir une page à eux avec une photo et leur numéro de téléphone: Wow! Une affaire épatante sur laquelle tout commerçant en pleine possession de ses moyens aurait du se jeter. A la place, c’est moi qui me suis fait jeter, méthodiquement, par tous mes « prospects ».

    Résultat de 2 semaines avec ma mallette: 0 vente, un égo froissé mais un diplôme en rejet obtenu avec mention. Le produit était moisi, c’est vrai, mais certains collègues le vendait bien quand même. J’ai donc appris tôt que la vente était un métier. A la fin de l’été, je suis retourné à la douce sécurité de mes études avec un certain plaisir….

    1. la vente, c’est toujours plus dur quand on ne croit pas à son produit. Essaie la prostitution (te vendre toi-même), je parie que tu pourras marger comme un cochon :-))

  4. Quand vous parlez de difficulté à faire ouvrir le portefeuille pour conclure le Deal, je vous dirais qu’il est aussi difficile pour vendre quelque chose de gratuit 😉

    Depuis 2009 je propose/fait la promotion de mon framework en opensource (gratuit), il n’y a pas d’échange monétaire, il est difficile de faire preuve de psychologie: le tout se passant sur le web.
    Dans ces cas là, que préconisez-vous ?
    Au menu de ce que j’ai déjà fait:
    -Sur le site: des tutoriaux écrit et vidéos pour démontrer la facilité d’utilisation la plus-value du produit
    -Sur developpez.com (un site connu et reconnu pour les développeurs: ma cible): des tutoriaux accrocheurs comme « comment créer son twitter en 1h avec le mkframework »
    -Dans la presse papier PROGRAMMEZ (magazine également connu et reconnu) des articles très court pour présenter, démontrer l’efficacité du framework (en 2-3 pages)
    -Une interview dans un podcast sur GNU/linux et l’opensource Parole de Tux
    -Je propose également des applications sur github s’appuyant sur le framework (pour créer un effet Halo, comme l’ipod pour les macs) ici: http://mkframework.com/projets.html

    Je serais curieux d’avoir votre avis sur la question: quels sont les moyens pour vendre/faire adopter sur le web des choses gratuites ?
    idem pour SARAH de jp Encausse: http://encausse.wordpress.com/s-a-r-a-h/

      1. Merci beaucoup, je pense que le business de l’opensource est assez complexe à promouvoir 🙂 (meme si souvent c’est gratuit)

        C’est également un point important également : trouver le bon prix: entre deux services de même qualité, certaines entreprises/personnes préfèrent prendre le plus cher: ça les rassure de payer 😉

  5. Super emission!
    Pour moi mes premières expérience de vente comme distributer de matériel de sport pour la Suisse (B2B) se sont conclue par une année plutôt bonne j’ai fais mes chiffres mais surtout sur une certitude ce job n’est pas pour moi. Par contre une excellente expérience de vie pour moi qui suis de nature très timide et là j’ai appris le contact avec les client mon gros soucis c’est que j’avais un contact trop amical ce qui me bloquais parfois pour pousser qqch en plus que le client avais pas forcement besoin..
    maintenant j’essaye de me vendre moi et c’est pas plus simple!

  6. Bonjour à toute l’équipe. Très heureux que Nipsales ai pu voir le jour. Très bonne émission.
    Ma première expérience de vente: de la vente de brioches en porte à porte pour payer mes études. Celà marchait étonnamment bien.
    Maintenant, je vends des solutions ERP et CRM.
    Merci à Syde et Marco de faire partager leurs expériences de commerciaux. Vos conseils valent de l’or.

    Never, never, never give up (à partir du moment où on est convaincu d’avoir le bon produit et d’apporter de la valeur au client)

  7. Très très bon moment pour ce premier épisode du nouveau venu de la famille Nip.
    Les deux présentateurs sont très bons orateurs, grande qualité d’expression, d’argumentation, et bonne qualité du son (qui manque parfois dans certains podcasts).
    J’ai apprécié la construction de l’émission.

    En revanche, moi qui ne suis absolument pas de la partie, j’aurais bien aimé une classification des types de vente/vendeurs, si c’est pertinent bien sur. J’imagine qu’il y a de bonnes différences entre b2b et b2c, grosse ou petite structure voir indépendant, … On le sent dans l’émission, mais je me suis demandé à plusieurs reprise si les propos pouvaient concerner tous les types de vente.

    Bravo et merci. Longue vie à NipSales.

  8. Très bonne émission, je ne manquerai pas les prochains numéros.
    Pas de vraie expérience de vente à décrire de mon côté, mais ce petit commentaire est surtout là pour vous encourager à continuer.
    Merci Mike et merci Marco pour cette super initiative.

  9. Moi ma première vente, c’est quand j’ai réussi à convaincre un petit
    oeuf et une petite graine de s’entendre pour me créer, et je suis né.
    Belle vente, non ? 😉

    Non
    sans déconner, je trouve ça hyper dur de vendre, surtout quelquechose
    que je n’aime pas… Heuresement, je ne suis pas vendeur. Bravo pour l’émission c’est quand même très intéressant pour moi qui ne suis pas dans le métier.

    1. Et pourtant on est beaucoup à l’avoir fait pour trouver un travail: l’entretien d’embauche c’est un peu une négociation commerciale.

      Un produit : vous, un prix le salaire et une négociation pour convaincre le client (patron) que ce produit conviendra, qu’il a un prix juste (votre salaire)

  10. Ha! Je n’ai pas encore répondu à ça! Bon, fraichement sorti de l’univ, je ne me voyais pas vraiment assis derrière un bureau (études en sciences politiques/ administration publiques). J’étais passionné par le domaine photo et ai transformé cette passion en métier (vendeur de matos photo, tireur sur minilab, caméra etc.) Ma première vente « mémorable » qui m’a fait décrocher mon job était assez facile. Dans le magasin de Waterloo (banlieue aisée de Bruxelles), je repère un homme en complet, tempes grisonnantes très sûr de lui en train de regarder les appareils. Je lui propose mes services et lui de me demander d’un ton claquant « c’est quoi le top? ». Ayant déjà repéré les produits dans le magasin, je l’emmène direct vers la star du moment… un Reflex Nikon D100 6mégapixels à près de… 3000 euros! Deux trois manipulations plus tard, la boite est sur le comptoir de vente. Mais je ne m’arrête pas là et lui dis d’un ton aussi claquant « c’est dommage, vous avez choisi un appareil si performant mais livré avec un « cul de bouteille »… 30 secondes de réflexion et il me demande à voir des objectifs plus performants… je ne me souviens plus du montant de la facture, mais le soir même je signais mon contrat avec un équipe de feu que je revois encore régulièrement pour évoquer nos faits d’armes.

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